cilie 1'amour ,de fes fujets,
&
l'·admiration
univ~rfelle,
Les nleilleurs Gouvernelnelis
s'en firent toujours une loi indifpenfable.
Ils favoriferent fur-tout les Arts
&
l~s
Sciences; deux moyens pour illuftrer toute
Répl\blique bien affermie. Les Arts
&
les
Scie'nces dans un Pays ont ,de tout tenlS
'attiré fur les Princes leurs Proteél:eurs l' af–
fettíón du Peuple; ont établi la
f~reté
de
teurs Etats; ont garanti lenrs noms du fleau .
, tae
Ir
indifférence
&
de '
l'
onbli .
'
,Marchant {ur certe route lumineufe"
PRINCE S-ERENISSIME, vous bornez-
tout~s
.
,
vos penfées aü hien' public'; vous encoura-
gez
le
con1merce, qui acquit autre-foÍs
a
cette Ville le beau titre
d'
Induflrieufl:
Vous '
protegez la: population
&
l'
agriculture en ·
bon pere de famille ·: Vous procurez enfin
le bonheur, la richeífe,
&
les honnetes
plaifirs de vos citoyens. En faut-il des preu–
ves? Vous voila occupé affidu111ent
a
four–
nir des facilités aux Sciences
&
aux beaux
Arts. V
011S
avez pourvue notre Ville de
profeffeurs habiles.. . Vous .avez ,e1)voyé anx
pavs